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Dominique a écrit :...Accélérations et montées en mode maintenir, plats et descentes en mode normal

Dominique a écrit :Oui OK mais j'étais en "mode "record électrique

De cette manière on peut faire n'importe quelle record de distance en électrique Il suffit que l'énergie récupérée dans les descentes soit équivalente à celle utilisée au plat jusqu'à la prochaine montée. et ça marche à l'infini ...

Exact, exemple :

D'accord, mais dans les 2 cas, on reste quand même dans des consos essence raisonnables, inférieures à la conso sur autoroute à 130.
Ca serait du grand n'importe quoi si on arrivait à des consos turbo-esques [emoji1]

pao a écrit : De cette manière on peut faire n'importe quelle record de distance en électrique Il suffit que l'énergie récupérée dans les descentes soit équivalente à celle utilisée au plat jusqu'à la prochaine montée. et ça marche à l'infini ...

En théorie, oui, mais en pratique...

J'ai bien: dit l'énergie récupérée lors des descentes équivalentes à la prochaine montée (le début de la montée). La montée, tu l'as fait en thermique.



Et là, dans tous les cas, ça marche à l'infini (Tant qu'il y a de l'essence).

Je préfère la technique inverse, Dans les montées, utiliser l'électrique. C'est moins intéressant pour avoir beaucoup de km en électrique, mais je trouve que c'est le meilleur confort. C'est de cette manière qu'on entend le moins le moteur
Dans la théorie c'est aussi de cette manière que la consommation d'essence est la plus faible. Les moments de gros besoin d'énergie sont fait en électrique. (théoriquement avec un meilleur rendement qu'avec un moteur thermique).

pao a écrit :Dans la théorie c'est aussi de cette manière que la consommation d'essence est la plus faible. Les moments de gros besoin d'énergie sont fait en électrique. (théoriquement avec un meilleur rendement qu'avec un moteur thermique).

Pas si sûr. La consommation moyenne sera fatalement jugée plus faible sur les km thermique mais au global d'un long trajet, je demande à voir... comme lors de mon trajet Clamart - Selestat où j'ai consommé 21 litres pour 447 km...

Tout à fait. Les méthode se valent, et je pense que le résultat final (nombre de litres d'essence brulée) sera équivalent.
Lors de long trajet, je n'essaie pas de faire le maximum de km en électrique, j'essaye de moins entendre le moteur.

- J'essaye de faire les distances hors autoroute (villes) en électrique.
- Au plat sur autoroute (vitesse constante) en thermique. (le bruit du moteur est couvert par le bruit de roulement)
- Les montées (ou fortes montées) en électrique. Je n'aime pas entendre le moteur ronfler.
- Les légères descent en thermique. Le moteur tourne plus lentement, mais la descente n'est pas assez forte pour recharger.
- Les grandes descentes, en électrique. En thermique le moteur serait aussi éteint, mais on ne pourrait pas refaire démarrer le moteur sur le plat. En faisant la descente en mode électrique, il me semble que dès qu'on passe en maintenir, le moteur s'enclenche.

(Si il y a beaucoup de montées, pas de miracle, je fais les plus petites en thermique)

Après, pas besoin de se prendre la tête, dans tous les cas, l'énergie électrique, fait que la consommation finale sera plus faible.

Amperiste avait fait un très bon comparatif ici

pao a écrit :Après, pas besoin de se prendre la tête, dans tous les cas, l'énergie électrique, fait que la consommation finale sera plus faible.

Amperiste avait fait un très bon comparatif ici

Pour que ce soit reproductible à l'infini, il faut que l'énergie en descente corresponde systématiquement au moins à celle du plat qui suit et que la prochaine montée ne soit pas trop forte. Non?

Oui. Mais des montées ainsi trop fortes ne se rencontrent quasiment qu'en montagne. Et il y a aussi la possibilité de ralentir.